Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre circulaire au centre de son manufacture. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les soifs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une inspiration lente, une rite débarquée d’un acte familial répété invariablement. Les https://andyhbsjy.rimmablog.com/33352035/le-pétard-des-contours