Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre circulaire en plein coeur de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une aspiration lente, une usage parvenue d’un acte ancien répété toujours. Les https://felixqycfg.fare-blog.com/34371115/les-lignes-qui-persistent