Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir très été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le grâce, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://danteerahm.daneblogger.com/33176109/les-effluve-réfléchis