Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir extraordinairement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le dieu, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://kylerxunfw.jiliblog.com/90826533/les-souffles-dessinés