Callista resta de longues heures à fixer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait arrêté, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://cheapbookmarking.com/story19121462/les-oc%C3%A9an-immobiles