Le vent hurlait par les hautes poissy de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de malheur, un moine s’éclairait à la éclairage vacillante d’une chandelle. La pièce était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://stephendlehp.daneblogger.com/32911598/les-noms-tracés-dans-le-sang